Sur les conseils de Laurent Urban, j’ai ouvert mon carnet d’entraînement depuis début mars.
Très motivé la première semaine, j’ai saisi toutes les opportunités d’entraînement pour essayer de faire un score côté volume. Après quelques additions, ma déception fût grande de constater que je n’avais réussi qu’à consacrer 15 heures (Natation : 7h ; vélo : 6h30 ; CAP : 2h30). Pourtant, je n’avais pas eu un moment de libre.
La semaine dernière un peu de relâchement et de mauvais temps, je n’ai pu m’entraîner que 8 heures 15 (Natation : 5h ; vélo :0; CAP : 3h15) ! UN PEU LEGER POUR PREPARER UN IRONMAN.
Alors cette semaine, j’ai mis les bouchées doubles : 18 heures 15 (Natation : 6h ; vélo : 7h45; CAP : 3h30).
J’avais l’habitude de m’entraîner au feeling : au gré des opportunités, de la météo et de mon état moral. Cependant, mon approche feeling était accompagnée d’une vraie planification de ma saison (objectifs et compétitions). Par contre, je n’avais pas de suivi de mes charges de travail : juste une gestion de la fatigue. C’était une solution qui me réussissait bien pour préparer des triathlons Sprint et DO. J’avais tendance à surévaluer mon volume horaire.
Peu habitué à m’occuper de moi, ce conseil est riche d’enseignements… Fini le feeling, je m’applique maintenant une approche beaucoup méthodologique : d’autant que je dispose de tous les éléments théoriques et pratiques pour l’établir. Mes partenaires d’entraînement (tous beaucoup plus disciplinés) pourront en juger.
Plus de 18 heures cette semaine : ce n’est pas mal. Il va falloir que je m’organise un peu plus pour passer au dessus des 20 heures. Les journées de se rallongent et j’en ai envi.
Y a qu’à.