Aujourd’hui, je viens de terminer ma dernière sortie vélo « longue », tout juste 100 km. Ma préparation est maintenant finie. Il n’y a plus que le voyage à organiser.
Bilan de ma préparation
Quand je regarde en arrière, je peux m’apercevoir que mon bilan quantitatif et qualitatif n’est pas à la hauteur de ce que je m’étais fixé. Bien sûr mes contraintes organisationnelles y sont pour quelque chose, de même que quelques aléas de la vie courante (fuites d’eau, tôle froissée de ma voiture,…). Ce que je retiens de cette période de préparation même si elle n’a pas été idéale ; c’est un sentiment de fatigue tout au long de ce dernier mois. S’il y a eu fatigue, c’est peut être que je n’étais pas en mesure de faire plus. Effet de l’âge ? Fatigue du travail ? Le point positif reste que mon appareil locomoteur n’a pas souffert : aucune douleur.
Le 5150 de Marseille
Le 5150 de Marseille était pour moi une course de préparation. Je voulais tester mon vélo, ma tenue et mes chaussures de CAP mais aussi faire une séance à intensité forte. Finalement, le test fut une réussite. Un TOP 20 au scratch et des temps dans chaque discipline très corrects (surtout en CAP). Je me suis étonné d’autant que je n’avais fait aucune séance à forte intensité. Ce triathlon m’a aussi rassuré car en course, le sentiment de fatigue ressenti à l’entrainement n’était plus là. Le format de triathlon M me convient bien : j’arrive bien à gérer mon effort sans me soucier de l’économie d’énergie. L’EmbrunMan sera autre chose.
Stratégie pour l’EmbrunMan
Mon ami Laurent Urban m’a toujours dit que l’EmbrunMan débutait après l’Izoard. Je vais essayer de l’écouter et éviter de tout donner dans son ascension. Il va falloir que j’agisse contre nature.